jueves, 20 de marzo de 2008

Thème 2

Bonjour à tous

Ici il y a un article sur le thème 2. L'article originel est en espagnol. J'ai ensayé de traduire la page web et j'espéré que vous pouvez l'entendre.

Nous assistons actuellement à une demande croissante de l'information sur les patrons de consommation d'alcool dans notre société, par les problèmes sociaux et personnels qu'il(elle) projète. À l'intérieur de ces patrons les associés acquièrent une plus grande importance aux règles de consommation de l'adolescence et de jeunesse, qui augmente, tant dans un nombre de boissons acquises, comme dans celui-là de sa graduation alcoolique.
L'accessibilité des jeunes hommes aux boissons alcooliques est chaque fois plus grande, malgré les prohibitions imposées de sa vente(auberge) aux mineurs. L'âge arrive à la moitié d'un commencement dans la consommation d'alcool entre les écoliers, selon les données de l'Enquête sur les Drogues à la Population Scolaire 1998 (la Délégation du Gouvernement pour le Plan National sur des Drogues), il(elle) est de 13.6 ans, et l'âge moyen de commencement de consommation hebdomadaire se situe dans 14.9 ans, selon cette fontaine(source) les filles fouillent plus grand prevalencia de consommation d'alcool, bien que dans de moindres quantités. 84.2 % des écoliers ont consommé un alcool dans une occasion et 43.9 % consomment au moins une fois par semaine. En ce qui concerne les épisodes d'ivresse 41 % des écoliers se sont enivrés dans une occasion et 23.6 % dans dernier mois.
80 % des morts inscrites entre des adolescents(adolescentes) se doivent des causes violentes et à l'intérieur de celles-ci les relatives aux drogues ou alcool représentent 50 %, en existant un plus grand pourcentage de suicides chez les fidèles à ces substances. De plus, ils se considèrent comme les facteurs familiers de grande importance dans le commencement et un cours clinique de l'addiction à l'alcool et d'autres drogues, puisque jusqu'à un tiers des enfants ils(elles) ont sa première offre de consommation de boisson alcoolique à l'intérieur de l'atmosphère(le climat) familière, à ce que l'implication de la famille a une grande importance dans tout programme thérapeutique.

Pourquoi consomment-ils(elles) ?
La croyance plus répartie entre différents groupes d'adolescents(adolescentes) et de jeunes hommes(filles), a à voir avec l'association, selon son opinion, entre la consommation d'alcool et les "conséquences positives" que cela proportionne. Entre celles-ci ils(elles) se font remarquer, selon ceux-ci ils(elles) indiquent, une élévation de l'activité psychophysique (une joie, une euphorie, un dépassement de la timidité et de caractère renfermé, amélioration de l'état d'âme(intention), etc..), une possibilité de divertissement et d'intégration à l'intérieur du groupe d'amis où ils(elles) consomment la majorité.
Dans la mesure que l'alcool fournit aux jeunes hommes une série d'effets ou de conséquences positives, et le jeune homme les interprète comme un bienfait, les dits effets se convertissent en motifs de consommation. La jeunesse, comme une règle générale, n'associe pas la consommation d'alcool aux problèmes qui peuvent dériver de lui, ils attendent de l'alcool les échanges positifs globaux (facilitador d'une expressivité émotive, desinhibidor et potenciador des relations sociales, etc..), et à la fois ils(elles) ne croient pas que la dite substance a des conséquences négatives, en influant considérablement sur une plus grande consommation durant le week-end, où les relations interpersonnelles s'intensifient. Pour cela anticiper les "effets positifs" et non les vraies conséquences négatives, il(elle) aide à porter qui se produit une plus grande consommation sociale.
Cette considération positive vers l'alcool, fait qu'il est considéré à même comme il(elle) drogue l'une socialement acceptée et d'une ample diffusion ce qu'il(elle) fait que, dans un ample pourcentage, les adolescents n'évaluent pas l'alcool comme une drogue et ne considèrent pas sa consommation comme porte d'entrée vers l'addiction à d'autres drogues existe cependant quelques études qui démontrent tout le contrarié et selon lesquelles est très peu fréquent l'usage de cocaïne ou un héroïne, sans avoir antérieurement consommé de tabac, un alcool ou cannabis.
En résumé, les motifs principaux que le monde un adolescent(adolescente) ou juvénile il(elle) use pour expliquer la consommation de boissons alcooliques sont :
  • C'est une manière de "devenir joyeux", "atteindre le point".
  • Une forme de recherche d'affiliation, avec imitation de conduite, avec la consommation qui s'impose parfois depuis le propre groupe d'amis dans lequel il est annoncé.
  • Une pression sociale, parfois produite depuis la publicité.
  • Desinhibición, dépassement de la dignité(honte).
  • La consommation agirait comme un modèle d'imitation et une expressivité de l'âge adulte.

Que, combien de et comment ils(elles) consomment

Les règles de consommation dans le monde un adolescent(adolescente) et juvénile ils(elles) ont subi une série d'échanges durant les derniers temps, et de plus, on configurait quelques caractéristiques propres, propres de ce groupe d'âge, éloignées du modèle adulte et traditionnel de consommation.Ainsi nous pouvons nous faire remarquer comme caractéristiques principales de ce groupe d'âge dans sa relation avec l'addiction alcoolique :
Une recherche de nouveaux motifs pour la consommation, en détachant surtout l'affectation dans la sphère psicoactiva de la personnalité. Une évasion du quotidien, obtenue au moyen de l'ivresse, un alcool étant plus bu et de plus une graduation. Une concentration des périodes de boisson durant le week-end ou des périodes de fête, avec développement de "cuites", et ce que cela aide à porter comme altérations de l'ordre public ou des accidents de trafic. La descente progressive de l'âge de commencement de consommation de boissons alcooliques, qui selon quelques études, est trouvée(localisée) sur 12 ans, bien qu'il(elle) soit autour de 16 ans où se produit une modification des règles de consommation. La bière (entre une semaine) et les boissons de haute(grande) graduation des "combinés" (week-ends) prennent la tête du ránking de boissons préférées entre les jeunes hommes. Dans l'environnement un adolescent(adolescente) et juvénile on a l'habitude la consommation d'alcool de produire outre une maison et dans des espaces où les relations sociales des jeunes hommes se produisent. Ainsi tandis que(en attendant) la consommation se produit dans des lieux où il y a des relations entre égaux, il y a une absence de consommation dans le contexte familier.Les croyances prédominantes sur l'alcool continuent de détacher ses "effets positifs" comme nous avons antérieurement vu, en laissant les aspects(apparences) négatifs "pour les autres" ("cela ne me passera pas").
Après avoir analysé les effets produits par la consommation d'alcool il est probable que le jeune homme choisisse la stimulation agréable, certaine et instantanée proportionnée par même. De cette façon on construit les propres pensées ("non tous ceux qui boivent un alcool auront une dépendance physique ou psychologique" "non tous ont des accidents de voiture", "l'alcool affecte les autres qu'ils(elles) ne contrôlent pas mais non à moi" ...) qui contribuent à renforcer les effets ou les idées positives.

Comment actuer sur le problème?

Il est important de ne pas considérer de la forme isolée aux jeunes hommes du contexte social dans lequel ils(elles) se développent, mais aux deux conjointement, pour avoir toujours présentez les éléments respectifs du système : des jeunes hommes(filles), une famille, une école, et un quartier ou une municipalité et agir conjointement sur tous.Ainsi nous pouvions considérer différentes attitudes ou des règles de comportement(rôle) en face du problème, entre qu'ils(elles) se feraient remarquer :
  • Dessiner les programmes d'éducation, sur lesquels on influe non sur les effets négatifs de la consommation alcoolique, mais sur les effets positifs de je ne consomme pas, cette petite nuance, il(elle) ferait que les mesures avaient un meilleur accueil général et une plus grande efficacité.
  • Orienter les rôles au niveau éducatif en controversant et en délimitant les effets positifs de l'alcool, qui est l'ensemble de croyances plus développé. Il faut partir d'une information réaliste, qui situe dans sa plus juste limite(terme) les "effets reforzantes" de l'alcool, mais qui montre aussi ses limites. De plus une série de croyances erronées existent par rapport à l'alcool (une augmentation de la puissance sexuelle, la manière de combattre le froid, ou comme utilité(profit) thérapeutique), transmises d'une génération chez la génération qu'elles ont besoin d'être été démontées.
  • Développer des programmes d'entraînement dans une habileté sociale, pour agir principalement dans le preadolescencia, avant que la consommation habituelle d'alcool ne soit instaurée, pour aider à cette population à faire face sous l'énorme pression que le groupe exerce sur ceux qui ne boivent pas. Pour cela il faut former des professeurs du système éducatif, des éducateurs de rue, des animateurs sociaux, etc..
  • Il faut utiliser les mesures efficaces qu'ils(elles) n'ont pas parce qu'être la la plus coûteuse. Faire les boissons non alcooliques moins chères, puisqu'il est actuellement moins cher de consommer une boisson alcoolique qu'qu'un rafraîchissement, ainsi que renforcer des boissons exotiques avec un moindre contenu nul alcoolique mais "qui entrent par les yeux" aux jeunes hommes.
  • Réussir à imposer les lignes de travail qui obtiennent que l'âge de commencement de la consommation habituelle d'alcool se retarde le maximal possible, ce qui aura un incident important la prévention de la consommation problématique de l'alcool.
  • Formuler des buts pour éviter la déconnexion des adolescents des systèmes de contexte, surtout éducatif, pour modifier les croyances d'adolescents(adolescentes) et de jeunes hommes(filles) sur l'alcool, en travaillant fondamentalement sur les motivations de consommation, ou pour dessiner des stratégies pour réduire le maximal possible l'argent que les jeunes hommes portent dessus les week-ends.
  • Agir sur les espaces physiques où la jeunesse se meut, en révisant son dessin. Ainsi nous pouvons :
  • Céder des lieux où nous croyons des espaces les plus pareils aux bars et les mettre aux mains de groupes ou d'organismes non contrôlés par l'Administration, qui leur donne plus de liberté.
  • Stimuler les programmes qui supportent la présence d'éducateurs dans les lieux qu'ils fréquentent.
  • Obliger aux bars à créer des espaces éloignés de la barre et avec un volume réduit de musique qui permet la communication et l'organisation d'activités attractives qui concentrent le temps d'oisiveté(loisir) et de divertissement.
  • Influer sur l'importance de la famille comme facteur régulateur de la consommation et comme milieu d'information.
  • Finalement, stimuler le débat entre les diverses forces politiques pour la création de divers programmes juvéniles de contrôle et la prévention des addictions.

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