Si j'étais professeur et que un de mes élèves se droguait, je ne sais pas comment je réagirais.. Parce qu'en France, un professeur ne rentre pas trop dans l'intimité d'un élève, on ne pose pas trop de questions sur la vie privée, et il est difficile d'intervenir. Cependant je me rappelle que dans mon ancien lycée, il y avait pas mal de prévention, et que les gendarmes passaient souvent avec des chiens pour chercher si il n'y avait pas de drogue au lycée.
Je ne connais pas bien les programmes qui sont développés en France pour aider les jeunes qui se droguent. Mais je sais qu'on invite souvent les élèves à participer à des concours par exemple "dessiner une affiche, un slogan contre le tabac etc..." pur leur faire prendre conscience des méfaits de celui-ci. Je pense qu'en tant que professeur, j'encouragerais ce genre d'initiative :-)
COMO DOCENTE YO ACONSEJARIA A MIS ALUMNOS Y LES SERVIRIA DE GUIA , LES PEDIRIA QUE ME CONTARAN SUS PROBLEMAS Y LUEGO LES MOSTRARIA QUE HAY UNA MEJOR SOLUCIÓN QUE LAS DROGAS, IGUALMENTE GUIANDOME POR LA EXPERIENCIA QUE HE TENIDO CON LAS PERSONAS QUE CONOZCO..
Contestando a las preguntas que fueron formuladas por mi...
Desde mi punto de vista, estaría mal darle la espalda a un estudiante que requiera ayuda de este tipo. Siendo nuestra profesión una labor social, estamos inmersos en prestar ayuda a nuestra comunidad y no podemos hacernos los de la vista gorda. Está claro, que si un caso se presentara al interior de la institución, el problema no solo me concierne a mi, sino a todo el cuerpo docente, a los directivos, al psicologo a la familia del muchacho/a... Estarian envueltas muchas personas dispuestas a ayudarlo. Lo que está muy claro es, que si él quiere ayuda para dejar de consumir, nosotros estaremos presentes, pero sino, sería muy dificil ayudar a quien no quiere ser ayudado. Sin embargo, yo como profesora me ganaría la confianza del estudiante para que se pueda abrir conmigo y de esta manera saber las razones por las cuales está consumiendo y, al igual que Eli, sería un guía, acosejándolo en sus problemas.
Como dije anteriormente, al ser profesores estamos directamente involucrados en ayudar a nuestra sociedad en este tipo de situaciones.
J'ai lu et relu vos différentes interventions. D'un côté, je trouve que Kelly et Eliana, en se projetant dans leur futur rôle d'enseignantes, ont clairement conscience du rôle qu'elles peuvent jouer dans la formation des jeunes citoyens. Effectivement, quand on parle de l'école en général, en Colombie, on peut imaginer facilement le professeur conscient de son rôle social qui essaie de s'approcher d'un élève pour qu'il lui raconte ses problèmes et pour le conseiller (si l'élève serait prêt à se laisser aider, c'est une autre histoire...). Je vois mal par contre ce genre de situations se produire dans des structures de formation d'adultes, par exemple (surtout si le prof est beaucoup plus jeune que ses étudiants, comme moi ;-)
Par contre, je me posais alors une question par rapport à ce que disait Sarah. Si tu as l'impression qu'un professeur en France ne rentrerait pas trop dans l'intimité d'un élève (une impression que j'ai moi-même selon ma petite expérience dans les lycées français), qui est-ce qui joue ce rôle ? Qui se tient à l'écoute des problèmes que les élèves peuvent avoir ? Qui est-ce qui les conseille ? Il y a des assistantes sociales ? Des psychologues ? Ils attendent que les élèves viennent ou bien ils vont aussi vers eux ?
En Colombie, quand j'étais encore élève, au moins dans mon lycée, je crois qu'il y avait juste un psychologue ou quelque chose comme ça. Les profs étaient alors plus présents pour nous et s'occupaient plus de nous que les autres.
Pour répondre à ta question Jorge, en France, au collège et au lycée, il y a un CPE (conseiller principal d'éducation) dans chaque établissement, il se charge des formalités administratives (conseils de classe, bulletin, absences etc...), mais généralement on voit également qu'ils sont une sorte de médiateur entre les élèves et le principal ou les professeurs, et les parents. Je me rappelle dans mon lycée, le CPE avait un dossier sur chacun de nous (notre histoire, notre situation familiale, problèmes si il y avait, vie privée...). Et ça serait plutôt lui qui viendrait vers l'élève pour lui demander de lui parler de ses problèmes qui influencerait son travail, son comportement. C'est également lui que les professeurs viennent trouver pour parler d'un problème sur un élève, et faire rencontrer à l'élève une assistante sociale ou un psy si nécessaire. Sinon à l'école primaire, c'est le directeur qui joue ce rôle, il est beaucoup plus proche de ses élèves que le principal avec les élèves au lycée/collège.
coucou, pour compléter un peu les réponses de Sarah, il y a aussi l'infirmière qui est présente et qui peux poser des questions à l'élève lorsqu'elle sent qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Mais c'est vrai que le CPE est la personne la plus proche des élèves, en plus il y a plusieurs CPE et bien souvent les élèves ont leur préféré, celui avec qui il leur est plus facile de se confier.
6 comentarios:
Coucou kelly,
Si j'étais professeur et que un de mes élèves se droguait, je ne sais pas comment je réagirais.. Parce qu'en France, un professeur ne rentre pas trop dans l'intimité d'un élève, on ne pose pas trop de questions sur la vie privée, et il est difficile d'intervenir.
Cependant je me rappelle que dans mon ancien lycée, il y avait pas mal de prévention, et que les gendarmes passaient souvent avec des chiens pour chercher si il n'y avait pas de drogue au lycée.
Je ne connais pas bien les programmes qui sont développés en France pour aider les jeunes qui se droguent. Mais je sais qu'on invite souvent les élèves à participer à des concours par exemple "dessiner une affiche, un slogan contre le tabac etc..." pur leur faire prendre conscience des méfaits de celui-ci. Je pense qu'en tant que professeur, j'encouragerais ce genre d'initiative :-)
COMO DOCENTE YO ACONSEJARIA A MIS ALUMNOS Y LES SERVIRIA DE GUIA , LES PEDIRIA QUE ME CONTARAN SUS PROBLEMAS Y LUEGO LES MOSTRARIA QUE HAY UNA MEJOR SOLUCIÓN QUE LAS DROGAS, IGUALMENTE GUIANDOME POR LA EXPERIENCIA QUE HE TENIDO CON LAS PERSONAS QUE CONOZCO..
Contestando a las preguntas que fueron formuladas por mi...
Desde mi punto de vista, estaría mal darle la espalda a un estudiante que requiera ayuda de este tipo. Siendo nuestra profesión una labor social, estamos inmersos en prestar ayuda a nuestra comunidad y no podemos hacernos los de la vista gorda. Está claro, que si un caso se presentara al interior de la institución, el problema no solo me concierne a mi, sino a todo el cuerpo docente, a los directivos, al psicologo a la familia del muchacho/a... Estarian envueltas muchas personas dispuestas a ayudarlo. Lo que está muy claro es, que si él quiere ayuda para dejar de consumir, nosotros estaremos presentes, pero sino, sería muy dificil ayudar a quien no quiere ser ayudado. Sin embargo, yo como profesora me ganaría la confianza del estudiante para que se pueda abrir conmigo y de esta manera saber las razones por las cuales está consumiendo y, al igual que Eli, sería un guía, acosejándolo en sus problemas.
Como dije anteriormente, al ser profesores estamos directamente involucrados en ayudar a nuestra sociedad en este tipo de situaciones.
J'ai lu et relu vos différentes interventions. D'un côté, je trouve que Kelly et Eliana, en se projetant dans leur futur rôle d'enseignantes, ont clairement conscience du rôle qu'elles peuvent jouer dans la formation des jeunes citoyens. Effectivement, quand on parle de l'école en général, en Colombie, on peut imaginer facilement le professeur conscient de son rôle social qui essaie de s'approcher d'un élève pour qu'il lui raconte ses problèmes et pour le conseiller (si l'élève serait prêt à se laisser aider, c'est une autre histoire...). Je vois mal par contre ce genre de situations se produire dans des structures de formation d'adultes, par exemple (surtout si le prof est beaucoup plus jeune que ses étudiants, comme moi ;-)
Par contre, je me posais alors une question par rapport à ce que disait Sarah. Si tu as l'impression qu'un professeur en France ne rentrerait pas trop dans l'intimité d'un élève (une impression que j'ai moi-même selon ma petite expérience dans les lycées français), qui est-ce qui joue ce rôle ? Qui se tient à l'écoute des problèmes que les élèves peuvent avoir ? Qui est-ce qui les conseille ? Il y a des assistantes sociales ? Des psychologues ? Ils attendent que les élèves viennent ou bien ils vont aussi vers eux ?
En Colombie, quand j'étais encore élève, au moins dans mon lycée, je crois qu'il y avait juste un psychologue ou quelque chose comme ça. Les profs étaient alors plus présents pour nous et s'occupaient plus de nous que les autres.
Pour répondre à ta question Jorge, en France, au collège et au lycée, il y a un CPE (conseiller principal d'éducation) dans chaque établissement, il se charge des formalités administratives (conseils de classe, bulletin, absences etc...), mais généralement on voit également qu'ils sont une sorte de médiateur entre les élèves et le principal ou les professeurs, et les parents.
Je me rappelle dans mon lycée, le CPE avait un dossier sur chacun de nous (notre histoire, notre situation familiale, problèmes si il y avait, vie privée...).
Et ça serait plutôt lui qui viendrait vers l'élève pour lui demander de lui parler de ses problèmes qui influencerait son travail, son comportement.
C'est également lui que les professeurs viennent trouver pour parler d'un problème sur un élève, et faire rencontrer à l'élève une assistante sociale ou un psy si nécessaire.
Sinon à l'école primaire, c'est le directeur qui joue ce rôle, il est beaucoup plus proche de ses élèves que le principal avec les élèves au lycée/collège.
coucou,
pour compléter un peu les réponses de Sarah, il y a aussi l'infirmière qui est présente et qui peux poser des questions à l'élève lorsqu'elle sent qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Mais c'est vrai que le CPE est la personne la plus proche des élèves, en plus il y a plusieurs CPE et bien souvent les élèves ont leur préféré, celui avec qui il leur est plus facile de se confier.
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